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Une liste de films culte… non exhaustive et tout à fait subjective…

Le terme ne désigne ni un genre au sens propre, ni une qualité esthétique, mais qualifie un film en fonction de la façon particulière dont il est reçu par le public ou une partie du public. Un film culte possède un groupe d'admirateurs, et c'est en général un film que « soit on aime, soit on déteste »...

 

 Des films sur…

… la famille… la violence dans les rapports père/fils… le déterminisme social… l’alcoolisme… des personnages marginaux… des films « culte »… ou tout cela à la fois !

           

 

Little miss sunshine (Jonathan Dayton, USA, 2006) : L’histoire d’une famille irrésistible, des personnages croustillants, unis et délirants… une comédie à (re)découvrir absolument!

 

Le retour (Andreï Zviaguinstev, Russie, 2003) : Programmé lors de notre 19ème festival… où l’image du père est tout aussi violente qu’attirante…

 

Les démons de Jésus (Bernie Monvoisin, France, 1997) : Les aventures de la famille Jacob, quelques mois avant celle de Mai 68, composée d'un père alcoolique, d'une mère au foyer, de deux frères arnaqueurs, d'un autre intello, du dernier qui se demande pourquoi il va a l'école et enfin d'une sœur trop belle pour eux.

 

Leaving Las Vegas (Mike Figgis, USA, 1995) : Ben, scénariste alcoolique, décide de partir à Las Vegas après s'être fait licencier par la maison de production pour laquelle il travaillait. Il se donne quatre semaines pour boire jusqu'à en mourir…

 

C’est arrivé près de chez vous (Rémy Belvaux, Belgique, 1992) : « Le » film culte belge par excellence : drôle, horrible… sans morale aucune ; on adore ou on déteste.

 

Affreux, sales et méchants (Ettore Scola, Italie, 1976) : Affreux, sales et méchants reste ce que l’Italie a produit de pire, c’est-à-dire dans ce genre de cinéma décadent dont Ferreri était le chantre avec La Grande Bouffe, le plus fort, le plus drôle, le plus dérangeant. Un cinéma social avant tout, dans lequel la fiction restait anodine, et d’une violence morale, d’un humour noir et malgré tout réaliste, qui aboutissait en l’occurrence au film le plus gerbant de l’Histoire.

 

Gervaise (René Clément, France, 1956) :Adapté du roman « L’assomoir » de Zola, où le déterminisme social s’apparente à une terrible fatalité…

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